Concernant les retraites, toute la droite – mais aussi la gauche – s’accorde pour dire qu’il faut une réforme.
Et il ne s’agit pas d’une véritable réforme dans le bon sens du terme bien entendu, par exemple le retour au 37,5 annuités pour tous, vous l’aurez compris… Il s’agit de poursuivre la contre-réforme déjà engagée – qui a valu à M. Fillon son poste de premier ministre – et présentée comme inéluctable.
C’est l’argument soi-disant imparable : il faut payer de plus en plus longtemps, puisque l’espérance de (...)