Qui peut croire que les états généraux de l’industrie,
au niveau national comme au niveau régional,
peuvent sauvegarder les emplois ?
Prenons l’exemple du site de Continental Clairoix (Oise). Six mois après le début du long combat de classe engagé par les travailleurs, porté par l’éclairage médiatique à l’attention de tous les travailleurs de France (et ce combat a permis aux 1 100 salariés licenciés d’obtenir, outre les indemnités normales, une prime de 50 000 € et vingt-sept mois de formation rémunérés au (...)