Il y a dans toute cette question de “changement climatique”, de l’“écologie” au-dessus de tout, des relents manifestes de régimes autoritaires. Tout d’abord, préparation d’artillerie, on pilonne, on ne parle que d’une seule voix, on ne parle que de ça, il faut sauver la planète Terre : l’homme est cause du changement de son climat, les médias, la science — qui a bon dos — demandent réparation.
Deuxième temps : il faut payer. En réalité, ce qui frappe tout d’abord, lorsqu’on entend parler du changement (...)