Les travailleurs de Général Motors et les Strasbourgeois ont appris le 10 mai la mise en vente de l’usine de Strasbourg. En 2010, General Motors Company avait imposé aux salariés le gel des salaires, la suppression de l’intéressement et une diminution des journées de RTT, comme condition à la reprise de l’usine de Strasbourg, qu’elle avait rachetée pour un euro symbolique.
Elle avait organisé un référendum, contraire au code du travail, et soumis les travailleurs au chantage à la fermeture.
Le POI avait (...)